Wencun et Xilai, deux villages sauvés de la destruction et de la patrimonialisation

Architecte : Amateur Studio et Liu Jiakun
Rédigé par Frédéric EDELMANN
Publié le 04/04/2018

Malgré un contexte historique, politique et économique très dissemblable du nôtre, le drame de la destruction du patrimoine urbain des campagnes chinoises résonne étonnamment avec la situation européenne, où nos vieux bourgs se meurent au profit d’une suburbanisation mortifère de pavillons et de zones commerciales ou industrielles. En Chine, des architectes comme Wang Shu et Lu Wenyu ou Liu Jiakun se battent pour sauvegarder des villages mais refusent de les figer sous une cloche patrimoniale. Ils proposent au contraire des projets de développement où l’ancien et le nouveau dialoguent avec une pertinence exemplaire.

 


En 2008, la Cité de l’architecture et du patrimoine présentait deux expositions sur la Chine. L’une, « Dans la ville chinoise », avait trait à la métamorphose des grandes cités de cette nation de 1,3 milliard d’habitants, et donc aussi aux campagnes, à la culture, au devenir d’une civilisation difficilement saisissable – même si l’un des meilleurs spécialistes français du sujet, Christophe Gaudier, a pu écrire : « L’altérité de la chine est une construction de sinologues, il n’y a pas de “mystère chinois”. » Autre versant inévitable de la ville, l’architecture était évoquée à travers la présentation d’une quinzaine d’architectes. Quinze noms, pas plus, représentaient une profession qui n’avait pas eu plus de dix ans, depuis la mort hautement symbolique de Deng Xiaoping, pour reconstituer le savoir et les savoir-faire disparus dans les remous de l’ère Mao. Tous ces noms ne suscitaient pas le même intérêt, et d’ailleurs ne représentaient aucunement un mouvement cohérent. Citons en trois : Ma Yansong (agence MAD), génie de la communication tous azimuts, ancien de chez Zaha Hadid, déjà bien ancré en Chine, et qui, à force de vouloir le Pritzker, finira bien par l’avoir ; Wang Shu, premier Pritzker chinois, aujourd’hui mondialement reconnu, sinon vraiment connu ; Liu Jiakun enfin, le plus éclectique des maîtres d’œuvre actuels.

 

C’est à ces deux derniers, Wang et Liu, les plus poètes du groupe, que nous nousintéresserons, notamment au travers de deux opérations de préservation et de développement de villages, un thème emblématique de la situation chinoise mais dont les enjeux résonnent étonnamment avec les nôtres.

 

L’après-séisme du Sichuan

Mais pour mieux comprendre ce contexte de commande, il faut revenir sur les dix ans qui nous séparent des jeux Olympique de Pékin et du séisme du Sichuan, deux événements majeurs et contradictoires pour « l’imaginaire » architectural, alors que la population paysanne, suivant une courbe inverse de la croissance urbaine, tombait à 40 %. La physionomie des villes s’est métamorphosée avec moins d’inventivité que de brutalité, qu’il s’agisse d’infrastructures, d’urbanisme ou d’architecture. Mais la profession d’architecte, très encadrée, n’a pu en profiter pour se développer, restant l’une des plus faibles (33 000 pour 1,3 milliard d’habitants, à comparer aux 290 000 architectes du Japon, pour 127 millions d’habitants, chiffres 2014). Peu d’architectes donc, et moins encore formés dans des universités de haut niveau, principalement à Beijing (Tsinghua), Shanghai (Tongji), Nanjing, puis, pour les plus ambitieux, dans les grandes écoles américaines, européennes ou japonaises, ce qui n’a pas favorisé l’éclosion du métier.

 

Li Xiaodong, récipiendaire du prix Aga Khan en 2010, s’exprimait ainsi en 2013 : « Parce qu’il y avait bien des choses à suivre, bien des choses à copier, bien des figures à imiter… alors, nous avons adopté ceci puis adopté cela pour le superposer au contexte chinois. Depuis trente ans, nous essayons d’apprendre de n’importe qui du moment qu’il est extérieur au pays. La Chine est devenue une périphérie, alors que les pays développés se sont transformés en centres aptes à produire des idées originales que la Chine tente désespérément de suivre » (www.architecturalpapers.ch, 2013).

Combien sont-ils à présent à affirmer une personnalité indépendante, et à n’être pas allé chercher leurs modèles au-delà des frontières ? Certes, notre noyau initial n’est pas resté stable. Plusieurs se sont laissés happer par la production corporate, tel Ma Qingyun (agence Mada s.p.a.m.), et bien peu ont continué de suivre les chemins étroits d’une architecture que l’on peut dire vertueuse, fondée sur la recherche, la préservation d’un lien avec l’histoire et finalement la perpétuation mutatis mutandis de la culture chinoise. Parmi eux, Liu Yichun (Deshaus), Zhang Ke (Standardarchitecture, prix AKAA 2016), Zhang Lei (AZL Architects), Wang Shu et Liu Jiakun enfin, qui s’imposent sans ostentation sur la scène internationale et dont un point commun est l’intégration d’une pensée urbaine, serait-ce à petite échelle, et architecturale, c’est-à-dire une réflexion sur les dimensions autonomes de chaque construction.

 

Amateur Studio et le village de Wencun

Wang Shu, 54 ans, est né en 1963 à Urumqi, capitale ouïghour du Xinjiang (nord-ouest), passée sous l’emprise des Hans. Son père est musicien et « charpentier amateur », disent les encyclopédies, ce qui peut signifier, en Chine, qu’il est plus ou moins architecte. Sa mère est institutrice. Homme à la fois discret et talentueux, soucieux de l’éthique du métier, il est le représentant le plus singulier de cette fraction d’architectes qui ont choisi la voie étroite de l’humanisme et de la qualité dans un pays où les commandes peuvent se chiffrer en millions de mètres carrés. À près des études à l’université du Sud-Est (Nanjing) et un doctorat à l’université Tongji de Shanghai, il crée son atelier en 1998 à Hangzhou, la capitale du Zhejiang, avec celle qui devient alors sa femme et son associée, Lu Wenyu. Tenté par les lettres et la peinture classique, il devient alors doyen du département d’architecture de l’école en 2003. Hangzhou, l’ancienne capitale des Song du Sud, pas très loin de Shanghai, a produit beaucoup de ces personnalités cultivées. Comme Suzhou, où il construit son premier édifice, Hangzhou, ancienne ville impériale, cumule les problèmes : destruction rue par rue des quartiers anciens, nouvelle architecture médiocre ou gentiment balnéaire, hyper-développement urbain.

 

Wang, qui s’est fait une spécialité de la restauration, et Lu s’attellent à la construction du musée des Beaux-Arts de Ningbo ainsi qu’à celui d’histoire de la ville. C’est ce dernier qui va principalement faire sa renommée. Structure à la fois architecturale et urbaine, parcourue de « rues » au niveau supérieur, « défendue » par de hauts murs percés de meurtrières horizontales, plutôt que de fenêtres, déclinant comme le hasard toutes les couleurs et les matières des villes anciennes ou de la géologie.

 

Amateur Architecture Studio obtient le Pritzker en 2012. Cela ne modifie pas sa manière de voir : « Même si j’ai été bien entouré toutes ces années, j’ai été seul au départ dans toute cette exploration. Pour dire les choses simplement, j’ai réfléchi, j’ai travaillé dur, j’ai essayé d’appliquer mes idéaux. » Wang Shu reste fidèle à sa manière de voir, lorsqu’il est sollicité dans la foulée pour concevoir un complexe culturel à Fuyang, « petite » ville de 600 000 habitants, située à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest de Hangzhou, dans la province du Zhejiang. C’est là, au bord de la rivière dans ce qui était au XIVe siècle un paysage idyllique au bord de la rivière Fuchun, que vécut le peintre Huang Gongwang, un des « quatre maîtres de la dynastie Yuan », figure clef de la culture chinoise. Pourtant, Wang Shu, qui met aussitôt à profit le prestige que lui confère le prix, commence par refuser cette commande, ou plutôt par accepter à une condition peu banale : il demande qu’on lui confie au préalable la rénovation d’un village des environs, histoire pour lui de se confronter à la tradition des paysages (shan shui en chinois, soit « montagne » et « eau »). Où l’on voit une nouvelle et belle légende se mettre en place dans ce foyer de la culture nationale jadis visité par le premier empereur Ming, Hongwu et plusrécemment par Mao Zedong et Zhou Enlai.

 

Comme le rappelle l’architecte, 90 % des villages traditionnels et supposément protégés ont été rayés de la carte. Pour autant il ne souhaite pas intervenir sur un site classé, préférant un ensemble qui a vécu plus ou moins heureusement au rythme de l’histoire. Il explore une trentaine de sites dans la région autour de Fuyang, et finit par arrêter son choix sur un village au nom inspiré : Wencun, 文村, soit les deux caractères signifiant écrit et village. Le plan est d’ailleurs éloquent : l’ensemble des maisons, disposées en longueur, est adossé à un relief montagneux, tandis qu’une petite rivière coule sur l’autre versant. Une fois traversée, une longue bande de terrains vierges d’habitats sépare Wencun d’une nouvelle zone d’agglomérations plus récentes. On laissera les spécialistes discuter des possibles vertus feng shui du village.

 

Présentant son travail, Wang Shu présente volontiers les archétypes de la propagande à laquelle ont été soumis les Chinois en matière d’urbanisme. En gros, et en dehors de cités protégées, comme les villes d’eaux autour de Shanghai et Suzhou, deux modèles sont proposés aux habitants des campagnes : soit de solides « barres », comme on en trouvait en Roumanie, en ex-URSS, ou… en France ; soit des ensembles de maisons façon villas, toutes semblables et strictement alignées. Il suffit d’emprunter les trains de la région pour prendre la mesure de ce phénomène encouragé par un idéal supposé « nouveau riche ».

 

Wang et Lu Wenyu se font de leur mission une idée assez éloignée de tels standards. En même temps, ils ont bien compris quelle liberté de création leur laissait le caractère hétéroclite de Wencun, qui s’est développé sans excès de respect pour le passé ni véritable conscience de ce que devrait ou pourrait être une architecture de qualité minimale. Comme l’immense majorité des villages de Chine et d’ailleurs. Ils consultent, chose inhabituelle, les habitants de Wencun, plutôt dubitatifs, mais pas vraiment hostiles. Ils étudient la structure des maisons, l’agencement des pièces, la place des cuisines, des poulaillers, des porcheries, les lieux de vie et de rassemblement. Tout une série de dispositifs spécifiques de la vie paysanne, et différents des villes où ils ont l’habitude de construire. Et pour parachever leur répertoire, ils étudient les techniques traditionnelles, et durables, qui pourraient être spécifiques de Wencun.

 

On connaît la technique de Wang Shu, qu’ici aussi il défend : la plupart de ses bâtiments utilisent des éléments de récupération, pierres, anciennes briques, ou tuiles : « Je n’ai pas inventé la réutilisation de matériaux recyclés, dit-il, cela se retrouve dans notre tradition constructive… Par ailleurs, en tant qu’architecte, on ne peut pas ne pas réagir devant tous ces matériaux laissés par les destructions des quartiers anciens. » De la même manière, ils intègrent les structures traditionnelles des maisons du Zhejiang, leur orientation, leurs cours, leurs ouvertures, avec pour résultat une méthode pour la rénovation des maisons anciennes, ce qu’on appelle la grammaire, sinon le style, d’Amateur Architecture Studio. Et une plus grande liberté pour une trentaine de nouvelles habitations – dix-huit destinées aux habitants, les douze autres à une structure hôtelière. Faire venir quelques touristes était aussi un des buts du chantier, tout en évitant, tempère Lu Wenyu, d’en faire un parc à thème.

 

Wang Shu aime le bois, mais n’a aucun scrupule à utiliser le béton quand il le faut. Au reste, il ne s’interdit aucun matériau. Surtout pas celui que lui livrent les chantiers de démolition. « Ce qui m’intéresse, dit-il, c’est plutôt d’observer, à partir de l’histoire, la question de l’expérimentation ; la distinction nette entre “tradition” et “modernité” est abstraite et simpliste, et ne reflète pas la réalité. On sait que les deux dernières décennies en Chine ont été extrêmement marquées par la destruction des centres anciens, avec beaucoup de grands immeubles construits, et trop peu de réflexions avant démolitions. »

 

Certains puristes, comme le professeur et historien Ruan Yisan, ont récusé la façon dont l’architecte se serait limité au dessin inspiré de façades qui, pour ne pas toucher structurellement à la forme du village, masquerait les transformations inadéquates des espaces intérieurs. Mais faut-il, dans les structures abîmées par le temps, reconstituer les typologies originelles (terre battue au sol, absence d’eau et de sanitaire, crasse et cafards à profusion) ? Faut-il opter au contraire pour le confort contemporain ? Et quel est sinon le juste choix entre ces deux approches ?

 

Liu Jiakun et le village de Xilai

L’aventure de Liu Jiakun est à la fois similaire et opposée. Né en 1956 à Chengdu, dans l’immense plaine du Sichuan au pied de l’Himalaya, qui servit de grenier au reste de la Chine, il fit ses études à Chongqing, alors capitale de la région, avant de commencer à travailler au Tibet. Jusqu’en 1990 cependant, il fera profession d’écrivain. De toutes ces étapes, il garde une personnalité, à la fois sombre et volontaire, fermée pour mieux s’ouvrir lorsque son univers culturel rencontre une écoute attentive. Il est l’auteur d’un des bâtiments les plus emblématiques de la Chine contemporaine, un musée publié et exposé à l’envie, situé à 100 kilomètres de Chengdu : le musée des Sculptures bouddhiques de Luyeyuan (2004).

 

Mais avec une agence d’une trentaine de personnes, il est capable d’une grande diversité de styles volontiers marqués par une dimension symbolique (mémorial à Hu Huishan, du nom d’une jeune victime du séisme de Wenchuan en 2008, au Jianchuan Museum), historique, au sens architectural du terme (corbuséen, international, « louis-kahnien ») ou urbaine, c’est-à-dire plutôt villageoise, au sens fluctuant du mot. La seule de ses œuvres qui porte, en anglais au moins, le nom de village, est un vaste complexe à Chengdu, qui relève de tous les mythes contemporains de la ville : le stade, le garage, les barres d’habitation, les loisirs culturels… Dans ce « West village » ou « Basis Yard », ou Cultural Complex, présenté avec succès à la dernière Biennale de Venise, Liu Jiakun conjugue avec une humeur de poète, tour à tour irascible et rêveur, le vocabulaire de la modernité et l’immense variété des situations qu’offre aujourd’hui la Chine.

 

La forme du village, comme aurait pu dire Julien Gracq, se retrouve en revanche dans le chapelet des édifices de l’hôtel qu’il a construit dans la forêt de Laoshan, à l’ouest de Nanjing, connu comme collection d’architectures plus ou moins achevées sous le nom de CIPEA (China International Practical Exhibition of Architecture). Tentative similaire pour le Shuijingfang Museum à Chengdu, en l’honneur de la culture du vin. Enfin et surtout, pour son rapport direct avec la gestion actuelle d’un ensemble ancien, arrêtons-nous à la vieille ville (plutôt un village, ou un bourg) de Xilai (« Vers l’ouest »), dans la zone dite des Banyans.

 

Xilai est la moins connue d’un groupe de cités du district protégées de Pujiang, dont l’origine remonte aux Ming. Son architecture est composée de structures en bois et de briques, mais aussi de pierres de terre et de bambous. L’intervention de l’agence de Liu Jiakun est relativement restreinte en surface : en plus des 6 000 m2 restaurés, ont été construits un musée de la Cloche et quelques édifices remarquablement intégrés, dominés par un campanile d’une dizaine de niveaux. Enfin, un pont enjambant la rivière dont la berge est aménagée en promenade.

 

La part moderne du projet est en effet sans équivoque et dessinée avec une belle élégance. Là où Wang Shu impose une écriture entre toutes reconnaissable, Liu Jiakun fait alterner une restauration scrupuleuse et une écriture strictement contemporaine.

 

Au-delà de son architecture, une des grandes vertus de Xilai, protégée par son relatif éloignement, est la permanence de traditions réchappées, gestes et coutumes, aux dernières crises du siècle. On vit, joue et mange ici dans la rue, on se nourrit d’insectes, ni moins ni mieux qu’ailleurs, on fait sonner les vieux erhu (violons chinois), et l’on écoute les cloches. Jusqu’à l’arrivée des touristes que le maire, ici aussi, espère conquérir.

 

 

 

 

Nous remercions le Pavillon de l’Arsenal pour la découverte du projet de Wencun lors de la conférence de Wang Shu le 25 janvier dernier et Enora Cordier pour son aide précieuse pour la recherche des documents. Nous remercions également pour son aide Wen Wen Cai de arc en rêve à Bordeaux, qui prépare une exposition consacrée à Wang Shu et qui sera inaugurée en juin.

 

 





Vue Sud-Est de Wencun, district de Fuyang, Hangzhou, après intervention de Wang Shu et Lu Wenyu (Amateur Architecture Studio)<br/> Crédit photo : BAAN Iwan Ancienne entrée de Wencun, avant restauration<br/> Crédit photo : Amateur Architecture Studio  Entrée après rénovation<br/> Crédit photo : Amateur Architecture Studio  Vue au bord de la rivière de Wencun, district de Fuyang, Hangzhou, après intervention de Wang Shu et Lu Wenyu (Amateur Architecture Studio)<br/> Crédit photo : BAAN Iwan Vue de Wencun<br/> Crédit photo : BAAN Iwan Vue de l'intérieur d'une maison de Wencun<br/> Crédit photo : BAAN Iwan Vue d'ensemble du village de Wencun après l'intervention d'Amateur Architecture Studio<br/> Crédit photo : BAAN Iwan Vieille ville de Xilai, district de Pujiang, Sichuan, restaurée par Liu Jiakun<br/> Crédit photo : BAAN Iwan Vieille ville de Xilai, district de Pujiang, Sichuan, restaurée par Liu Jiakun<br/> Crédit photo : BAAN Iwan

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