Selon ses auteurs, le Bivouac Fanton est « un projet à mi-chemin entre absolu et mesure, un travail soigné qui trouve toute sa dimension dans la possibilité d’amplification de la perception ; y vivre signifie se placer dans les lentilles d’un télescope ; c’est alors une tentative pour cadrer l’espace, le circonscrire, en faire une œuvre qui lie l’homme à son environnement, afin d’établir une césure capable de trouver une frontière au paysage, une forme de compression progressive des roches, de la lumière, du vent et de la neige ». Bigre, avec ça, bivouaquer devient une cou-pure azimutale, un écrasement phénoménologique, un vertige métaphysique. Pas question de popoter, ni de ronfler, ni de puer des pieds. JPR
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