Sami Rintala, « Construire/transmettre/construire »

Rédigé par Marie-Hélène CONTAL
Publié le 10/05/2011

Sauna sur l'eau

Article paru dans d'A n°200

Sami Rintala réalise dans le monde entier des installations qui se placent à l'équilibre, comme le couteau de la balance, entre espace habité et nature. Il parcourt le monde comme workshop professor. Ses étudiants conçoivent et construisent leur projet in situ, en puisant les ressources au plus près, au bord des lacs polaires comme dans les villes d'Asie. Lui-même, en tant qu'architecte, bâtit aussi a minima, hors des systèmes économiques dominants. Pour Sami Rintala, la crise écologique ramène l'architecture à son essence : construire les liens entre l'homme, l'univers et l'histoire. L'Arctique, où l'homme n'a jamais dominé les éléments, est le théâtre privilégié de cette méditation esthétique.

  L'École nordique reste méconnue au sud de l'Europe. L'architecture écologique suisse ou allemande nous est plus facile d'accès : elle part d'un héritage esthétique commun, s'inscrivant dans des économies industrielles proches des nôtres.

En regard de cette culture ouest-européenne, l'architecture nordique a conservé une certaine simplicité constructive, surprenante quand on songe à sa prospérité. Cela tiendrait au fait que le patrimoine « identitaire Â» scandinave est moins associé à l'architecture, vécue comme un abri temporaire, qu'aux sites naturels. L'autre raison est que le siècle de l'énergie facile n'a pas permis aux pays nordiques de s'affranchir du climat autant que l'a fait l'Europe tempérée, dans ses villes et son habitat. Au Nord, le climat reste le plus fort. Tout le pétrole de Norvège ne suffirait pas à éradiquer la force des éléments, la nuit arctique, les glaces qui déplacent les routes terrestres et maritimes. Aussi la société a-t-elle continué à composer avec les éléments plutôt qu'à lutter contre, par des actes collectifs et individuels qui forment une autre culture de l'habitation humaine. Cette expérience est restée confinée au Nord durant la seconde moitié du XXe siècle. Elle était sans intérêt pour un Occident parti à la conquête du contrôle de la nature. Elle s'est d'ailleurs altérée à son contact car les modèles de confort industriel ont gagné les sociétés nordiques.

Le débat sur l'espace habité recherche des alternatives. Avec pragmatisme, il reconsidère l'habitat vernaculaire, pour sa capacité d'adaptation et son usage des ressources. Il esquisse aussi, philosophiquement, un nouveau rôle pour l'architecture. Elle pourrait, après avoir mis en scène depuis la Renaissance la conquête rationnelle de la nature, mettre en scène aujourd'hui sa préservation. « Dans cette perspective globale, l'architecture se configure comme la discipline dépositaire de la responsabilité de la sauvegarde du monde physique, de sa défense et de la compréhension des causes et des conséquences des phénomènes de mutation. L'architecture assume de nouveau une valeur éthique fondatrice et est responsable du rapport de confiance différent entre actions humaines et nature.» Les travaux du Finlandais Sami Rintala sont inscrits dans cette quête de sens.


UN RÉVEILLEUR CRITIQUE

Sami Rintala ne considère pourtant pas les pays nordiques comme une civilisation préservée. Son parcours s'ancre au contraire dans le constat de sa fragilisation, un processus dont il a vu les ressorts de près. Ce fils d'entrepreneur, né en 1969, a travaillé dans l'entreprise paternelle avant de commencer ses études. Il a vu comment l'essor économique a été capté par une industrie de l'habitat qui a introduit les modèles médiocres et coûteux, bien connus de l'Europe de l'Ouest : « Au Nord, les maisons, chauffées plus de la moitié de l'année, consomment une énergie importée. Construire a minima serait donc une contribution écologique et économique majeure. Cette question cruciale devrait être une priorité, surtout en Scandinavie, où les gens possèdent des maisons de plus en plus grandes. Mais il semble que nous ayons abandonné le droit de les construire à des groupes incontrôlables qui ne recherchent que le profit. La réalisation d'une maison est-elle une tâche si difficile qu'il faille l'abandonner à ce genre d'entreprises ?2 Â»

Il fait ses études à Helsinki, après avoir observé ce délitement d'un mode d'habiter autrefois lié à la culture et à la cohésion des sociétés. Il analyse ces dernières en menant ses études comme un $roman d'apprentissage nordique$ : d'Helsinki, il part pour Aahrus, au Danemark, puis à Reykjavik, en Islande ; il voyage dans le Nord, attentif à la diversité des habitus. Il termine ses études en 1999 dans le Master Studio de Juhani Pallasmaa, grand pédagogue, théoricien d'une approche phénoménologique : « la mission de l'architecture est la défense de l'authenticité de l'expérience humaine3 Â».

En 1999, il commence à enseigner à Bergen et s'associe à Marco Casagrande, architecte et artiste qui a grandi en Laponie. Il réalise avec lui des installations croisant plusieurs disciplines afin d'interpeller les sociétés sur leur évolution : art éphémère, Land Art, arts de la rue, cirque… De Finlande en Scandinavie, puis dans le monde, leur démarche est vite repérée par la critique et les milieux de l'art.

L'action Land(e)scape à Savonlinna (Finlande), à l'été 1999, utilise trois vieilles granges, démontées puis hissées sur des échasses de 10 mètres. De ces observatoires, les Finlandais peuvent suivre non pas la transhumance des troupeaux, mais l'exode rural des habitants. À la fin de l'été, les auteurs mettent le feu aux granges. L'été suivant, à Koli (Finlande), les 1 000 White Flags couvrent les pistes d'une station de ski avec des draps récupérés dans des hôpitaux psychiatriques. Chaque drapeau correspond à un arbre que l'on a coupé pour créer les pistes et vient panser la colline. Pour l'action Sixty Minute Man, à la Biennale d'architecture de Venise 2000, une chênaie est plantée dans une vieille péniche ; son terreau est un compost des déchets produit en une heure par l'activité humaine à Venise. Le Bird Hangar, à la Triennale de Yokohama de 2001, est un silo empli d'oiseaux en balsa. Les oiseaux sont attachés à des ballons météorologiques ; lâchés, ils s'envolent et disséminent des graines de plants japonais. Ces actions sont souvent réalisées avec l'aide d'étudiants ; nous reparlerons plus loin de ce croisement.

À l'été 2002, les deux performeurs entreprennent un tour du monde nordique. Ils traversent la Sibérie et vont jusqu'au Japon, collectionnant les vieilles haches sibériennes, puis traversent le Nord américain, d'Halifax à Anchorage. Le voyage, ponctué de conférences dans les universités, se termine à Anchorage avec l'installation Redrum, le « temple du pétrole Â», construite avec des conteneurs et emplie de barils et de coquilles d'huîtres, face au siège du gouvernement d'Alaska.

L'ensemble de ces travaux forme plus qu'un corpus : un parcours, une ligne de fuite : « L'artiste travaille à développer un ruban de significations, à propager une longueur d'ondes, à moduler la fréquence conceptuelle sur laquelle ses propositions seront décodées par un public.4 Â»


CONSTRUIRE/TRANSMETTRE/CONSTRUIRE…

À partir de 2004, Sami Rintala poursuit sa propre voie, qui s'infléchit vers l'architecture. Il est invité en 2005 à la Triennale d'art de Kirkenes, le dernier port norvégien au Nord, sur la mer de Barents. Plutôt qu'une performance, il propose de faire Å“uvre utile en construisant un refuge pour les pêcheurs et les chasseurs qui depuis toujours viennent ici de tout l'Arctique : Russes, Norvégiens, Finnois, Samis… L'hôtel Kirkenes est un abri minimal en bois et en brique, face à la mer, construit en dix jours avec l'aide de trois étudiants.

De nombreux building workshops, menés avec des étudiants, suivent Kirkenes et forment un corpus construit. Sami Rintala n'a pas inventé cette pédagogie mais il la déploie en fabrique d'architecture. Ces projets, qui doivent être achevés en quelques jours, portent toujours sur l'habitat ou sur le lien : entre les hommes – ce sont des espaces publics, des lieux de réunion – ou entre l'homme et la nature : ce sont des ponts, des abris. Ils répondent à des besoins qui ont été exprimés par des communes, des associations, avec lesquelles Sami Rintala a défini les programmes et trouvé les moyens de faire. Ces programmes sont contemporains, comme leur écriture, mais elle se nourrit plus souvent de l'art que de l'architecture.

Le workshop vise à instaurer « un rapport de confiance différent entre actions humaines et nature Â». Le projet pédagogique vise à reconstruire les savoirs vernaculaires, qui sont en quelque sorte la prose indispensable et perdue de l'architecture. Les étudiants sont confrontés à un site qu'ils doivent habiter en quelques jours : comprendre son histoire et sa géographie, concevoir un projet – une passerelle, un observatoire, un sauna sur un lac… –, puis le construire avec les ressources disponibles. Mais ils doivent en même temps dépasser ces savoirs et établir par le projet que « â€¦ c'est poétiquement pourtant Que l'homme habite sur cette terre5 Â». La densité de l'exercice – unité de lieu, de temps et d'action – permet d'opérer ce court-circuit, parfois cathartique, qui fait penser au haïku, entre l'usage d'une langue et le passage à l'acte de poésie. À travers cette pédagogie, Sami Rintala cherche à débarrasser l'architecture de ses réthoriques et à lui rendre son état d'expérience anthropologique. Peut-être se souvient-il aussi des tentes des nomades lapons, premier peuple nordique ?

Depuis 2007, Sami Rintala travaille avec l'Islandais Dagur Eggertsson, ancien du séminaire de J. Pallasmaa. L'agence est installée à Oslo et à Bodø, sur le cercle polaire6. Ils réalisent des installations et maintenant des projets. La frontière reste mince entre les deux activités. Ils ont conçu la Boxhome, construite en 2007 pour la galerie d'art ROM lors de la Triennale d'Oslo, comme un manifeste sur l'habitat, adressé aux habitants. Ce prototype est une cellule de 19 mètres carrés qui satisfait les besoins de base. Réalisée en bois et panneaux, elle coûte quatre fois moins cher que la même surface proposée sur le marché. Démontable, elle a voyagé, après Oslo, jusqu'au cercle polaire.

Les projets en cours de S. Rintala et D. Eggertsson sont conçus, comme leurs workshops, à l'écart des circuits industriels de la construction. « Beaucoup de nos projets ont été suscités par nous-mêmes, nous allions les proposer ensuite aux maires ou à des clients privés. C'était la seule façon d'être sûr qu'ils aillent dans le bon sens. Â»

On ne s'étonnera pas qu'après un tel parcours, leurs maîtres d'ouvrage leur ressemblent et leur confient des projets en accord avec leur éthique. « On peut comparer les grands projets, brillants et gras, que produit la frénésie du système spéculatif, aux nourritures qui sortent des usines pour les chaînes de fast-food, à base de bÅ“uf transgénique. Nos projets veulent être plutôt des sashimi, petits et intelligemment conçus, produits localement, faits à la main… Puisque l'obésité frappe aujourd'hui 20 % de la population, nous préférons alléger ainsi le menu, plutôt que de dessiner des hamburgers XXL qui se vendront mieux. Nous souhaitons aborder la réalité qui nus entoure à une échelle compréhensible, avec des matériaux honnêtes, une conception attentive au site, une attitude audacieuse et dans un véritable échange avec les sociétés locales. Â»


1. « Holistique, durabilité et architecture Â», Benno Albrecht, in Habiter écologique, éditions Actes Sud, 2009.

2. S. Rintala et D. Eggertsson, installation Boxhome, 2007.

3. "I see the task of architecture as the defense of the authenticity of human experience" : Juhani Pallasmaa, Encounters. Architectural Essays, éd. Rakennustieto, Helsinki, 2005.

4. Nicolas Bourriaud, Radicant. Pour une esthétique de la globalisation, éd. Denoël, 2009.

5. De Bachelard à Heidegger ou Edgar Morin, qui n'a pas cité Hölderlin ?

« Telle est la mesure de l'homme.

Riche en mérite, c'est poétiquement pourtant

Que l'homme habite sur cette terre. Â»

1823. En bleu adorable.


AMÉNAGEMENT DU LAC DE SELJORD

Le workshop a réuni des étudiants de Milan (Nuova Accademia di Belle Arti et Politecnico de Milano) et de la Scenography School de Fredrikstad en Norvège. Les étudiants ont découvert le lac Seljord, dans le comté de Telemark, au sud de la Norvège. Le Telemark est riche d'une nature splendide et variée qui lui vaut d'être considéré comme une « petite Norvège ». Il fallait concevoir et construire trois modestes programmes autour du lac – un point de vue, un sauna, une base d'accueil pour la pêche – destinés aux marcheurs, aux touristes, comme aux habitants du village, qui sont également pêcheurs ou usagers du sauna.

Ce projet était intégré dans le programme « Seljord et Sågene », géré et financé par le Springer Kulturstudio afin de revitaliser une région menacée par la désertification et le vieillissement. Il soutient en particulier des projets liés au tourisme de randonnée, qui contribue à entretenir les territoires et dont les activités s'insèrent aisément dans l'économie rurale du comté. L'idée était bien sûr de réunir, grâce aux échanges des étudiants, les ressources de l'architecture, de la scénographie et de l'art contemporain.

La visite du site et le projet ont duré deux jours (25 et 26 septembre 2008), les travaux ont commencé dès le lendemain. Les étudiants disposaient d'un stock de planches et ont trouvé sur place les pierres servant à maçonner le foyer du sauna ou les appuis des pontons. Ce dispositif sera complété par une tour d'observation, à construire sur le rivage, à proximité du village de Seljord.

Le point de vue se dresse sur la rive nord, sur une corniche rocheuse offrant une vue panoramique sur le lac. Sur cette corniche, les étudiants ont repéré six plateaux qui forment un cercle, qu'ils ont reliés par des pontons légers. Les planches ont été soigneusement ajustées sur les roches.

Le sauna a été construit au creux d'une baie, sur la rive sud, sur pilotis afin de rester utilisable lorsque le niveau de l'eau varie. Le sauna est posé au-dessus d'un foyer dont on chauffe les pierres avec un feu de bois. Une terrasse descend vers l'eau par quelques marches. La façade côté route forme un écran protecteur, alors que la façade côté lac s'ouvre sur le paysage.

Pour trouver le camp de pêche, il faut se rendre au bout de la péninsule du Tellnes, presque au milieu du lac. L'implantation a été soigneusement étudiée. Les cabanes sont logées dans une dépression du socle rocheux : « J'aime l'idée de ne pas peser, même dans le choix du lieu. Sur un site très beau, je construis à côté pour ne pas le cacher, pour encadrer la beauté du lieu avec le bâtiment. »


SOUMIS À LA QUESTION


> Quel est votre premier souvenir d'architecture ? 

Dagur Eggertsson : Une immense construction à Reykjavik dans laquelle j'explorais les espaces magiques faits de béton, d'acier et de bois.

Sami Rintala : Le grenier de notre maison de famille, toute en bois.

> Que sont devenus vos rêves d'étudiant ? 

DE et SR : Nous étions très incertains sur ce qu'était l'architecture et nous avons commencé à en tester les limites. Nous sentions que la société aurait été meilleure sans les architectes, leurs discours fantaisistes et leur tendance à tout intellectualiser. Nous avons voulu fuir cette tour d'ivoire et tenter plutôt de communiquer et de construire nos idées plus directement  et sans détours. 

> À quoi sert l'architecture ? 

DE et SR : Créer un environnement qui, au-delà des exigences fonctionnelles, ait du sens au regard de l'activité sociale et des individus. 

> Quelle est la qualité essentielle pour un architecte ? 

DE et SR : Savoir écouter et savoir parler, réfléchir et agir, jouer collectif, être un confident. 

> Quel est le pire défaut chez un architecte ? 

DE et SR : Une approche trop dogmatique pour résoudre les problèmes. Se soumettre aux règles et aux limites en oubliant de faire confiance au réel.  

> > Quels sont les vôtres ? 

DE et SR : L'impatience ? 

> Quel est le pire cauchemar pour un architecte ? 

DE et SR : L'effondrement d'un bâtiment que vous avez construit.

> Quelle est la commande à laquelle vous rêvez le plus ? 

DE et SR : Toutes les commandes sont un challenge. Nous rêvons en fait de transformer l'ordinaire en quelque chose d'extraordinaire. 

> Quels architectes admirez-vous le plus ? 

DE et SR : Ceux qui ont ouvertement critiqué le mouvement des Ciam. Colin St John Wilson les a appelés les autres Modernes dans son livre, L'autre tradition de l'architecture moderne. 

> Quelle est l'Å“uvre construite que vous préférez ? 

DE et SR : Nous aimons vivre dans un environnement visuellement simple, comme notre maison d'été, en oubliant le monde de l'architecture. 

> Citez un ou plusieurs architectes que vous trouvez surfaits. 

DE et SR : L'histoire nous apprend toujours que les architectes ont été surestimés. 

> Une Å“uvre artistique a-t-elle particulièrement influencé votre travail ? 

DE et SR : Le Land Art, comme les travaux de l'Arte Povera. 

> Quel est le dernier livre qui vous a marqués ? 

DE : Bamboo Palace. Discovering the Last Dynasty of Laos, de Christopher Kremmer. / SR : The Selfish Gene, de Richard Dawkins.. 

> Qu'emmèneriez-vous sur une île déserte ? 

DE et SR : Nos collaborateurs. "They are great people". 

> Quelle est votre ville préférée ? 

DE : New York.

SR : Rome.

> Le métier d'architecte est-il enviable en 2011 ? 

DE et SR : Oui, pour ceux qui aiment travailler dur dans un environnement professionnel exigeant.

> Si vous n'étiez pas architecte, qu'auriez-vous aimé faire ? 

DE : Un batteur. 

SR : Un chasseur-cueilleur.

> Que défendez-vous ?

DE et SR : La liberté d'expression. 

> Quelle question auriez-vous aimé que l'on vous pose ? 

DE et SR : "Shall we dance?"

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