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Dossier réalisé par Emmanuel CAILLE Il
y a un siècle, Siegfried Giedion définissait l’architecture française à l’aide
de l’opposition entre culture d’ingénieurs et système Beaux-Arts. Si elle fut
utile à l’éclosion du mouvement moderne, elle n’est plus opératoire aujourd’hui.
Et peut-on encore opposer l’ossaturisme d’Auguste Perret au purisme de Le Corbusier ?
À partir des années 1950, la production française est traversée par de
multiples inspirations européennes, américaines et japonaises ensuite. Sous le
joug des principes productifs et normatifs qui uniformisent désormais la
commande tant publique que privée, le paysage des pratiques architecturales en
France reste néanmoins d’une grande hétérogénéité, comme s’il était ouvert à
toutes les influences. |
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