De gauche à droite : Jean-François Cabestan, Djamel Klouche, Léonard Lassagne et Éric Costa. |
Dossier réalisé par Karine DANA |
d’a : Peut-on revenir à la fonction
fondamentale de l’îlot parisien, dans son pouvoir de porosité avec la ville, de
puissance de plain-pied ?
Jean-François Cabestan : Pour comprendre la spécificité des îlots parisiens du centre de la capitale, constitués à partir d’un tissu urbain extrêmement morcelé, plusieurs points sont à considérer. Il faut d’abord se figurer la capillarité du réseau viaire et l’étroitesse des rues héritées de l’Ancien Régime, difficilement imaginable à l’heure actuelle, dans la mesure où la ville s’est depuis retournée comme un gant. Avant l’haussmannisation des tissus, l’espace public était extrêmement restreint, les rues ne faisaient que quelques mètres de large ; la rue Saint-Antoine était une exception absolue à cette règle. L’usage profane des édifices religieux et notamment des cathédrales est l’indice de cette parcimonie d’espaces publics que présentait la ville traditionnelle(...)
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