Une brève histoire de l’isolation (dernier épisode) : de l’art d’accommoder les restes ?

Rédigé par Hubert LEMPEREUR
Publié le 17/10/2017

© AFP / Robert Atanovski

Article paru dans d'A n°257

Le précédent épisode de notre feuilleton sur l’isolation a abandonné les rêves d’autonomie des années hippies en pleine désillusion. La catastrophe énergétique et climatique s’installe d’autant plus et mieux que les milieux scientifiques et écologistes qui l’ont décrite depuis le début des années 1970 sont restés inécoutés. Jusqu’à aujourd’hui, discours politiques et réponses normatives s’avèrent impuissants à juguler la crise, quand ils ne l’aggravent pas.

En France au moins, depuis l’issue des « Trente Glorieuses », l’équation énergétique se résume largement à une réglementation et à une intervention publique dont les idéaux de la consommation et de la croissance demeurent le mot d’ordre. Certes, avec l’explosion du prix du baril de pétrole, véhicules et chaudières au fuel sont évidemment convoqués dans la comédie de « la chasse au gaspi » qui répond aux deux chocs pétroliers de 1973 et 1979. Mais pour autant le parc automobile s’accroît massivement1, ainsi que, dans un mouvement concomitant, celui du bâti individuel et toutes les offres et demandes d’équipement et de « confort ». Au rêve d’alternative communautaire se substitue bientôt l’isolement pavillonnaire.

« La condition pavillonnaire2 » se veut une réponse, toute paradoxale, à ce que l’on nomme dans les années Giscard « la pollution ». Ce thème se confond alors grandement avec ceux de la « qualité de l’air » et des nuisances sonores. Ceux qui le peuvent, en particulier les foyers avec enfants, se transportent vers les périphéries encore rurales, le plus souvent en « pavillon individuel » et autres « chalandonnettes », aggravant considérablement par leurs trajets pendulaires les nuisances urbaines qu’ils fuient : crise du stationnement dans les centres-villes, saturation des réseaux, la « rurbanisation » est l’autre nom du phénomène synchronique de « destruction des villes et des campagnes3 » qui s’accélère à partir des années 1970.

 

Le grand emballage et le tout-atomique

Simultanément à ce mouvement d’individualisation et d’exacerbation du repli social, la réglementation thermique dite RT 74 impose l’isolation des bâtiments d’habitation et leur ventilation artificielle. L’isolation phonique, motif promotionnel avancé par les fabricants tout autant que l’amélioration thermique pour le changement des fenêtres ou le doublage des parois, relève également des préoccupations dominantes. Mais loin des soucis économiques et domestiques des citoyens français et de leur exploitation par le marketing, la RT 74 n’est rien d’autre qu’un versant essentiel du programme pharaonique de construction de treize centrales nucléaires engagé par le gouvernement Messmer. Suivant une logique sans cesse renouvelée jusqu’à nos jours, les choix militaro-industriels en faveur de l’atome et la complaisance envers quelques champions nationaux guident l’État, y compris après qu’il est devenu clair que d’un côté l’emploi n’y gagnait rien et que de l’autre la chimérique indépendance énergétique nationale s’accomplissait en réalité au détriment de nombreux pays de ce que l’on nommait il y a peu le « Tiers-Monde », et où se trouve le matériau fissile.

Comme le rappelle l’architecte et conseil en environnement Maxime Tassin : à partir de la RT 74, « le surdimensionnement du parc [nucléaire] ne peut se rentabiliser qu’en lançant à très grande échelle un programme de bâtiments chauffés à l’électricité. Des milliers de logements sont donc conçus avec, comme seul moyen de chauffage, des convecteurs électriques […]. Une publicité massive pour cette énergie dite “propre” joue sur sa comparaison avec la saleté intrinsèque et les odeurs désagréables qui entourent les chaufferies au charbon ou au fuel et, dans une moindre mesure, avec les chauffages au bois, tellement plus palpables que les pollutions radioactives induites ou les émissions de rayonnements non ionisants qui n’ont ni odeur, ni saveur, ni réalité visuelle4 ».

Du point de vue de l’enveloppe architecturale, ce choix se traduit par une solution standard d’isolation adaptée au chauffage électrique : doublage intérieur des parois par du polystyrène associé à une plaque de plâtre cartonnée, fenêtres à double vitrage et matelas de laine minérale sous toiture. L’isolation est définitivement couplée à la ventilation mécanique, en l’occurrence électrique, c’est-à-dire majoritairement atomique. Elle est supposée mieux à même de contrôler le renouvellement de l’air que l’usager, tant du point de vue des déperditions calorifiques que de la santé. Sur cette base, les architectes français pourront penser avoir résolu une fois pour toutes le « problème » de l’isolation et de la ventilation. Ils auront ainsi désormais, notamment dans les « Unités pédagogiques » et les revues, tout loisir pour consacrer leurs efforts à d’autres sujets essentiels, tels que le débat sur la postmodernité versus la modernité.

Parvenant généralement à répondre sans trop de peine aux objectifs somme toute modestes de la RT 74 d’une réduction de 25 % de la consommation des bâtiments neufs, cette réponse stéréotypée vient comme une solution miracle, en remplacement de la multiplicité de produits d’isolation et d’approches énergétiques qui avaient émergé dans l’entre-deux-guerres et dont l’écho avait encore parfois retenti après-guerre. Simultanément et de façon très emblématique, le verrier Boussois, qui s’intéressait de près à l’emballage alimentaire et à l’isolation – en particulier au travers de sa collaboration avec l’américain Monsanto – connaît une des plus fascinantes évolutions de l’histoire industrielle et économique. Après que son association en 1967 à la Verrerie Souchon-Neuvesel a donné naissance au groupe BSN, une OPA hostile ratée sur le géant historique Saint-Gobain le conforte dans une voie audacieuse : ne plus se contenter du verre plat, du verre d’emballage et de l’isolation, mais assurer, suivant le slogan de son PDG Antoine Riboud, le « passage du contenant au contenu ». La suite est connue : la prise de contrôle d’Évian, Blédina, Kanterbräu, puis Gervais, Danone, Panzani, etc5. De son côté, Saint-Gobain devient le plus grand groupe mondial d’isolation et, suivant un cheminement sémantique proche, se proclame bientôt « leader mondial de l’habitat » : l’isolation comme métonymie de l’habitat. Dotée du deuxième parc nucléaire après les États-Unis, la France se hisse alors au rang de pays le plus nucléarisé au monde.

 

Performances techniques versus performance environnementales

Choc pétrolier de 1979 oblige, l’approche normative de l’enveloppe est modestement renforcée au travers de la RT 82, avec une exigence de réduction des consommations de 20 % supplémentaires. En 1988, la RT est élargie au parc non résidentiel et le principe de la réglementation modifié puisque celle-ci ne s’applique plus à seulement limiter les besoins de chauffage grâce au calcul des déperditions induites par l’enveloppe, mais aussi à favoriser les performances des équipements techniques. Le passage du XXIe siècle est l’occasion d’un tournant significatif : les logements construits entre 1989 et 2000 sont parvenus à égaler le bâti traditionnel en termes de consommation moyenne d’énergie primaire6, et il s’agit désormais de le dépasser.

Peu importe que ces « performances » soient atteintes pour le bâti neuf avec le renfort massif d’équipements techniques fragiles et de matériaux issus de la chimie de synthèse aussi dommageables au plan environnemental que rapidement obsolescents. Peu importe également que, dans le même temps, ne soient pas prises en compte dans la comparaison des notions difficilement quantifiables telles que la durabilité et l’énergie grise. Quoi qu’il en soit, ce moment est précisément celui que le législateur choisit pour se pencher sur le parc existant, dorénavant concerné par des obligations réglementaires avec la « RT existant 2007 ». Sous l’apparente logique de cette mise à niveau se profilent dans son application des effets potentiellement pervers et paralysants. La loi distingue en effet d’une part le « récent » de l’« ancien » (en l’occurrence antérieur à 1948), et d’autre part ce qui est patrimonial (bâtiment ou secteur protégés) du reste du bâti courant, ménageant tout un régime d’exemption.

D’un côté, la frange en apparence la plus banale du bâti, en particulier le parc de logement collectif et d’équipements publics des Trente Glorieuses, est livrée sans retenue à des transformations souvent aussi inefficaces que coûteuses et mutilantes, qui valorisent difficilement ses potentiels énergétiques différenciés. Le TSAM de Lausanne7 a constaté, à l’issue de ses nombreuses études monographiques, que « la prise en compte d’édifices réalisés selon des types constructifs très divers […] a mis en évidence que la situation d’équilibre entre la préservation de l’objet construit et une amélioration thermique conséquente se situe généralement autour de 80-90 % des valeurs légales, selon les techniques utilisées. Le 20-10 % restant pour se conformer aux normes en vigueur implique des interventions lourdes et très destructrices, dont la faisabilité technique se complique et justifie une augmentation exponentielle des coûts de réalisation pour une durée de vie équivalente8 ».

De l’autre côté, l’on se prive de se pencher sérieusement sur les conceptions et potentiels souvent exemplaires d’édifices parfois pluriséculaires, ayant été capables d’incessants changements d’usage à travers le temps, et dont la compréhension pourrait constituer une source irremplaçable de réflexion et d’innovation. C’est par exemple ce qu’a montré avec force Christophe Amsler par ses travaux sur les châteaux de Nyon, de Valère, ou de l’Aile à Vevey ou encore au porche des Apôtres de la cathédrale de Lausanne9. L’intégration fine des différents modes d’échanges thermiques et notamment des phénomènes liés à la convection et à l’inertie permet, avec le secours d’une métrologie toute suisse, d’envisager une quasi-autorégulation du patrimoine monumental. Ainsi, le bâti ancien s’avère capable de puiser en lui-même des ressources climatiques inédites, qui, précisément, ne sont pas basées sur la simple isolation intérieure ou extérieure.

 

Les limites des réglementations thermiques

En restreignant l’objectif de réhabilitation ou de construction à l’obtention d’une résistance thermique maximale de l’enveloppe architecturale, l’on prive d’emblée le bâti existant comme le neuf d’un éventail de solutions techniques d’ores et déjà éprouvées ou à inventer. Les critères normatifs conventionnels actuels et les avantages fiscaux ou de subventionnement qui leur sont associés obèrent ainsi, par exemple, le développement des divers procédés d’enduits isolants, de simples vitrages isolants ou les expériences de parois légères doubles, ou encore d’enveloppes à forte inertie, en pierre ou en terre. De telles approches et techniques seraient pourtant totalement à même de limiter les émissions de gaz à effet de serre et les consommations d’énergie fossile, bien mieux sans aucun doute que la pose généralisée de menuiseries en PVC ou de vêtures défaillantes par un cortège de professionnels sous-formés, quand ils ne sont pas simplement malhonnêtes.

Pire encore, cet activisme superficiel empêche de prendre la mesure « culturelle » de la révolution à accomplir : la fréquentation du bâti ancien ou des réalisations bioclimatiques des pionniers de l’écologie et de la contre-culture et l’analyse de leur comportement hygrothermique enseignent au plus haut point comment doivent être mis en corrélation les ressources propres de l’architecture et l’art de vivre de ses occupants. Comme pour d’autres problèmes de notre époque – en particulier ceux liés au cadre normatif, législatif et constitutionnel de l’Europe –, c’est à l’évidence dans cette dimension culturelle d’un art de vivre que se trouve l’ébauche d’un salut.

En se proposant de suivre une telle idée directrice, l’exercice de l’architecture, « ce mélange empoisonné d’impuissance et d’omnipotence » que décrit avec acuité Rem Koolhaas10, peut s’avérer davantage qu’un simple art d’accommoder les restes, face aux visées totalisantes de l’isolation comme solution des enjeux énergétiques et thermiques, et face à l’OPA du contenant sur le contenu qui nous est ainsi imposée. Nos sociétés se trouvent aujourd’hui en effet confrontées à un double problème, qui est tout autant celui de l’héritage de la révolution industrielle que celui des voies que nous avons commencé à emprunter pour le résoudre. Entreprendre, ainsi que le fait Christophe Amsler, de parler d’architecture comme vecteur d’« un mode de vie » et non d’une somme de performances, c’est, s’il est encore temps, dire enfin non aux voies de l’emballage et de la surtechnologie qui sont en train de faire entrer l’architecture dans les logiques fatales de l’obsolescence programmée en même temps que s’épuisent les énergies fossiles et les terres rares, que s’accumulent les déchets nucléaires et les plastiques non recyclables et que s’accélère de façon vertigineuse le dérèglement climatique. Alors que les isolants combustibles sont désormais montrés du doigt et que la société allemande elle-même, via sa presse nationale ou les ondes, commence à contester les effets de ses ITE11, la voie est peut-être ouverte à des alternatives.

 

Des voies alternatives prometteuses

Évidemment, pour illustrer les potentiels d’une architecture intrinsèquement liée aux conditions atmosphériques et à l’art de vivre de ses habitants, il est difficile de ne pas évoquer un pan de l’architecture japonaise, aussi bien traditionnelle que contemporaine, dont les images et les descriptions parviennent régulièrement jusqu’à nous. Si ses dispositifs immémoriaux à base de courants d’air et de « shōji » ont nourri la modernité occidentale jusqu’au fantasme, ses fondamentaux sont en effet toujours à l’œuvre, comme le montrent aujourd’hui quelques « starchitectes » nippons, mais aussi d’autres moins célèbres. Citons ici Hiroshi Sambuichi, qui s’applique à construire des architectures de microclimats, que ce soit au Naoshima Community Hall ou dans le Seirensho Art Museum de l’île d’Injuma. L’on pourra également citer Hiroaki Kimura et ses Steel Sheet Houses12. Fasciné par les ArtsCrafts, celui-ci livre depuis plus d’une vingtaine d’années des constructions dont l’enveloppe et la structure se résument pour certaines à une simple coque de métal de 9 mm d’épaisseur recouverte de peinture athermique et se donnant comme une forme convective.

Mais c’est également à un autre protagoniste suisse que l’on peut se référer pour entrevoir de façon plus philosophique les possibles d’un futur architectural affranchi de l’approche technocratique de l’isolation. Philippe Rahm s’est fait, avec ses projets et installations, l’explorateur d’architectures tantôt qualifiées de « physiologiques », « météorologiques », « climatiques », « atmosphériques », ou d’« à l’état gazeux », poursuivant avec constance un programme qu’il résume ainsi : « Les phénomènes climatiques telles que la convection, la dépression, l’évaporation peuvent devenir les nouveaux principes de la composition architecturale. Et les éléments météorologiques tels que la lumière, la chaleur ou la vapeur d’eau peuvent devenir les nouveaux matériaux de l’architecture contemporaine13. »

Sans aucun doute, et sans prétendre en faire l’étendard unique de la course contre la montre engagée pour parer au pire du dérèglement climatique, il y aurait lieu d’imaginer un programme en faveur d’une « architecture sans isolation » ou tout au moins dont l’isolation ne serait pas l’alpha et l’oméga de la conception énergétique. Plus consciente, plus joyeuse, plus sensorielle, cette architecture pourrait à l’évidence faire l’économie des gouffres d’énergie grise de nos opérations actuelles tout en offrant des lieux à la fois plus mouvants et plus harmonieux pour accueillir le passage des humains.

 

1. Il a été presque multiplié par trois entre 1960 et 1980, date à laquelle il s’établit à plus de 6 millions de véhicules particuliers ou utilitaires. Il dépasse aujourd’hui les 38 millions.

2. Le beau roman éponyme de Sophie Divry, paru en 2014, retrace l’histoire d’une Emma Bovary des lotissements, mariée en 1974.

3. C’est le titre du livre publié en 1987 par le sociologue belge René Schoonbrodt : Essai sur la destruction des villes et des campagnes. Le néologisme de rurbanisation avait été rendu familier dans les années 1970.

4. Ces lignes sont tirées du texte de Maxime Tassin : « Écologie et habitat à Grenoble de 1965 à 1995 », destiné à un ouvrage collectif sur l’architecture moderne grenobloise en préparation. Le tableau que nous dressons de cette période doit beaucoup à son analyse.

5. La co-activité du verre, de l’emballage et du produit durera jusqu’en 1979, avant que les Glaces de Boussois ne se séparent et que BSN devienne l’année suivante la première entreprise agroalimentaire française, sous le seul nom de « Danone ».

6. En 2007, les consommations moyennes en énergie primaire du parc bâti d’avant 1948 ont été estimées à seulement 168 kWhep/m2/an par le premier rapport du programme BATAN. Cf. Hubert Lempereur, « Bâti ancien et énergie : l’impossible normalisation ? », d’a, n° 207, avril 2012.

7. Laboratoire des techniques et de la sauvegarde de l’architecture moderne de l’École polytechnique fédérale de Lausanne.

8. Giulia Marino et Franz Graf, « Une transfiguration silencieuse. Transition énergétique et patrimoine de la grande échelle », Tracés, n° 5-6, 2016.

9. Christophe Amsler, « Énergétique du patrimoine », d’a, n° 207, avril 2012.

10. Rem Koolhaas, Vers une architecture extrême. Entretiens, Parenthèses, 2016.

11. Voir par exemple, pour les germanophones : www.energiesparhaus.info/news/waermedaemmung-mit-styropor.php

12. Cf. Hubert Lempereur, « Coques acier », AMC, n° 182, octobre 2008, et le site de l’architecte : www.ks-architects.com.

13. Textes à retrouver sur www.philipperahm.com.

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