La Platine, Cité du design, Saint-Étienne

Architecte : LIN, Finn Geipel+Giulia Andi
Rédigé par Emmanuel CAILLE
Publié le 02/11/2009

Comment concevoir une architecture ouverte à sa propre transformation ? Comment donner une forme à ce qui cherche à y échapper en privilégiant les valeurs relationnelles, transitives et dynamiques de l'espace ? Et si la forme, dans ses infinies combinatoires, n'est plus capable de répondre aux besoins d'un monde en perpétuelle mutation, quel type d'architecture pourrait accueillir ses nouveaux paradigmes et serait susceptible de déterminer un nouvel art d'habiter ? En se posant ces questions avec leur projet de la Cité du design, Finn Geipel et Giulia Andi ont pris le risque de l'expérimentation et livrent un des bâtiments les plus passionnants de l'année.

La Platine est le nouvel édifice qui marque désormais l'entrée de la Cité du design. Aussi horizontal qu'est verticale la tour Observatoire au pied de laquelle il s'étend, il se veut le lieu catalysant toutes les énergies de cette institution créée en 2005. Hommage à la célèbre Manufacture nationale d'armes de Saint-Étienne dans laquelle il s'est implanté, son nom renvoie également au rôle stratégique qu'il entend y jouer. La « platine » est en effet la pièce métallique d'une arme à feu qui assure la percussion sur l'amorce de la balle, provoquant la détonation : sans elle, rien ne se passe. Le nouveau bâtiment se trouve justement à un emplacement stratégique du site, entre la ville et le bâtiment de l'Horloge qui marquait l'entrée de l'usine. Cet édifice, aujourd'hui réhabilité par l'agence LIN comme l'ensemble de la Cité, s'inscrit en fond de perspective de la place d'Armes qui s'étend perpendiculairement depuis la Grand'Rue, axe majeur de composition du plan de Dal'Gabbio. Au XIXe siècle, l'architecte italien fit pivoter le développement urbain de la ville de 90 degrés dans le sens de la vallée.

S'inscrivant dans le vide central de la composition symétrique, l'implantation de la Platine va à l'encontre des conventions les plus élémentaires du projet urbain traditionnel. Ce parti impliquait la destruction des deux ailes en retour encadrant le bâtiment de l'Horloge. Violemment contesté localement, ce choix a été mal compris. Il s'accorde cependant parfaitement, nous allons le montrer, avec la démarche des architectes. Avant d'être architectural, la création de la Cité du Design est un enjeu économique et politique. Saint-Étienne a été l'une des villes européennes les plus touchées par la désindustrialisation. Depuis le XIXe siècle la région constituait, avec le textile, les armes et le cycle, l'un des fleurons de l'industrie de précision. Cet héritage culturel lui a donné une légitimité lorsqu'elle a voulu, avec la création de la Biennale en 1998, s'ériger en capitale du design. Saint-Étienne possédait déjà d'autres atouts : un musée d'Art moderne (architecte Didier Guichard, 1987) regroupant une remarquable collection de chefs-d'œuvre du design ; mais également un musée d'Art et d'Industrie qui accueille en un même lieu (le palais des Arts fondé en 1861 et réhabilité par Jean-Michel Wilmotte en 2001) des collections d'armes, de cycles et de rubans ; et enfin, s'ajoutant à cette richesse patrimoniale, l'École supérieure d'art et de design de Saint-Étienne (Esadse). Lieu d'enseignement, de recherche, d'expérimentation, de rencontres et d'expositions, cette école s'impose comme un outil vivant tourné vers l'avenir.

Le lancement du concours pour la Cité du design, fin 2003, marque également l'apogée de la politique très ambitieuse du maire d'alors, Michel Thiollière, en matière d'architecture. On sait que ce dernier paya cher ce courage lors des dernières élections municipales. Des projets majeurs qu'il a lancés, dont le siège du conseil général (architecte Manuelle Gautrand) ou le Zénith (architecte Norman Foster), le seul vraiment réussi, celui de la Platine, a été également le plus controversé. Le jury avait pris le risque de choisir la proposition iconoclaste de l'agence LIN plutôt que celle de Rudy Ricciotti qui, pour une fois, avait joué la discrétion (lire d'a n° 139).

Du concept à la réalisation

Pour mieux comprendre les enjeux du projet, il faut brièvement retourner dans les années quatre-vingt-dix, lorsque Finn Geipel, associé à Nicolas Michelin au sein du Laboratory for Architecture (Labfac), s'interrogeait sur l'obsolescence du bâti face aux mutations accélérées de la société. Partant des mêmes questionnements que les fonctionnalistes ou les tenants de l'hyper flexibilité du bâti, il tentait d'échapper aux impasses de ses prédécesseurs dont l'architecture tendait soit à une incapacité d'ajustement à l'imprévisibilité des usages, soit à une forme d'isotropisme où l'espace rendu homogène, neutre, générique, devient incapable d'engager un dialogue avec son environnement. « Quel est le degré minimal de détermination architecturale, économique et programmatique, écrivait Finn Geipel, au-delà duquel toute construction se réduit à un organigramme informe ? » Les hypothèses alors formulées par le Labfac l'orientaient vers une tentative de structuration de l'espace à partir de l'idée de flux, dans une interaction continue avec les usagers. Instabilité des parcours, évolution des pratiques ou réactions aux variations climatiques, l'espace serait ainsi moins déterminé par sa forme que par les aspects dynamiques de la vie du bâtiment. On comprend la difficulté qu'il peut y avoir à passer de la formulation de cette idée à sa réalisation concrète. C'est pourtant ce qu'avaient tenté Geipel et Michelin en concevant l'École nationale d'art décoratif, puis le projet (non réalisé) du Centre de recherche multimédia Métafort à Aubervilliers.

Un programme idéal

Le programme de la Cité du design offrait à Finn Geipel, désormais associé à Giulia Andi au sein de l'agence LIN, l'opportunité de mettre ses idées à l'épreuve et de pousser plus avant la concrétisation de ses réflexions. Les anciens bâtiments de la Manufacture ont d'abord été réhabilités. Ils sont transformés en ateliers, salles de cours et d'expérimentation. Le bâtiment de l'Horloge abrite désormais l'administration, quelques ateliers et des appartements pour boursiers et invités. Seul nouveau bâtiment avec la tour Observatoire, la Platine accueille une agora, des salles d'exposition, une médiathèque, une matériauthèque, un restaurant, un grand auditorium et une serre. Son rôle d'entrée générale du site, d'aire de représentation publique, et sa multifonctionnalité, tout concourt à faire de la Platine un milieu ouvert, réceptif à ces expérimentations. « Nous avons voulu, disent les architectes, envisager cet espace comme un continuum au sein duquel se forment, au gré de l'interaction entre lieux spécifiques et espaces indéfinis, des constellations de fonctions changeantes et variées. » Lors du concours, ils avaient expliqué ce concept par la notion d'hybridation par capillarité ou, pour le dire autrement, la capacité que peut avoir la dynamique relationnelle entre les différents usages et leurs variations à constituer, au fil du temps, des espaces qui se forment par regroupement ou dissociation. Un peu comme s'agrègent ou se dispersent des bulles à la surface d'un liquide soumis à des courants tumultueux.

Une peau active/réactive
Cette obsession à concevoir des lieux hyperadaptables pourrait paraître vaine lorsqu'on constate la capacité de nombreux vieux bâtiments, notamment industriels, à être facilement transformés en musée, bureaux ou lofts. Pour preuve, la parfaite transformation en appartements du dernier étage du bâtiment de l'Horloge, originellement conçu pour la fabrication, puis utilisé en bureaux. Mais c'est oublier que cette capacité de transformation repose généralement sur l'excédent de volume offert au regard du nouveau programme et que les performances énergétiques y sont souvent médiocres. C'est pourquoi Finn Geipel et Giulia Andi ont voulu concevoir un espace à la fois totalement libre (une halle de 193 mètres de long, 31 mètres de large et entre 4,60 et 6,50 mètres de hauteur sans aucune retombée de structure porteuse) et neutre par sa forme élémentaire, mais enveloppé d'une surface active/réactive qui détermine ou s'adapte à la multiplicité des activités. Il n'y a pas de structure porteuse hiérarchisée mais une résille d'acier tridimensionnelle continue : de petite taille, presque tous ses profils sont identiques. Ils sont assemblés selon une trame de 2,10 mètres qui s'étend uniformément des murs à la toiture.

Pour que les intentions des architectes prennent corps, il était important que cette enveloppe ne se réduise pas à une carapace hermétique mais constitue une peau qui respire et se module au gré des variations du climat et des besoins des utilisateurs. C'est pourquoi elle est composée de 14 068 triangles de 1,20 mètre carré, répartis en dix types de panneaux. Chacun correspond à une fonction particulière qui permet de contrôler et de graduer précisément la lumière, l'isolation et la ventilation à l'endroit voulu. Les contraintes de confort de l'auditorium, de la serre, de la médiathèque ou de l'agora ont ainsi déterminé différentes combinatoires de modules. Il y a deux échelles d'adaptabilité : la première modifie en temps réel l'échange entre intérieur et extérieur, comme ces panneaux qui modulent le rayonnement solaire en faisant coulisser deux trames filtrantes. La seconde, certes plus lourde et renvoyant à une échelle du temps beaucoup plus grande, tient à la possibilité de modifier ou d'échanger chaque triangle sans altérer la résille structurelle.
Pour le plancher de la Platine, les architectes ont conçu un dispositif plus simple mais qui suit la même logique intentionnelle. La sensation de continuité avec les façades est artificiellement suggérée par une sorte de douve périphérique creusant le sol jusque sous le bâtiment. Ce dernier semble ainsi en lévitation et la peau de ses murs se prolonger en dessous. En réalité, ce vide s'interrompt vite,laissant place à un plénum technique. Dans ce sous-sol, un système de ventilation combinant un puits canadien et un système de géothermie irrigue l'ensemble de la Platine par des trappes que l'on peut ouvrir en fonction du type d'activité en surface.

Milieu ouvert
Avec cette réalisation, Geipel et Andi semblent vouloir échapper à l'impasse dans laquelle les biosphères de Buckminster Fuller s'étaient engagées. Les dômes géodésiques de l'inventeur américain se trouvaient dans l'incapacité d'établir un échange ou une régulation avec leur environnement, les vouant à devenir des bulles invivables. Leur structure était bien non hiérarchisée, mais dénuée de qualité entropique, c'est-à-dire incapable d'évolution et d'auto-adaptation. Au contraire, la peau active/réactive de la Platine, en rendant son architecture poreuse, tend à abolir l'opposition entre extérieur et intérieur. C'est à l'aune de cette ambition qu'il faut réinterpréter l'implantation du bâtiment qui, selon ses détracteurs, bouche la perspective de la place d'Armes vers le bâtiment de l'Horloge. Si l'on accepte de le voir comme un catalyseur qui absorbe et rediffuse les flux, qu'ils soient fonctionnels (passer, regarder, travailler, s'informer, se rencontrer), thermiques (le froid, le chaud) ou solaires (l'ombre, la lumière), alors le bâtiment révèle plus qu'il n'occulte l'ensemble du site. Là où la pyramide du Louvre prétend naïvement s'effacer par sa transparence, la Platine entend proposer une nouvelle lecture de la Cité, moins par sa forme ou même son implantation que par sa faculté à générer une relation dynamique et instable avec son environnement.

Retour à la réalité
Le défi que représentait la mise en œuvre de ce concept est en grande partie relevé, grâce notamment à la rigueur d'exécution et à la grande maîtrise technique de l'équipe réunie autour de l'agence LIN. On peut cependant se demander si leur démarche ne débouche pas sur une aporie : à vouloir échapper au déterminisme de la forme, en concentrant dans les 75 centimètres d'épaisseur de cette enveloppe toutes les réponses aux contraintes qui conditionnent traditionnellement l'espace du projet (la gestion des flux, de l'aléatoire, de l'instabilité et des permanences, les échanges entre intérieur et extérieur), n'y a-t-il pas le risque, ici assumé, de vider l'architecture de ce qui lui est propre en la confondant avec la vie qui l'anime ? Plus prosaïquement, la Platine s'est heurtée à deux écueils contenus implicitement dans le postulat des architectes. La transposition des hypothèses de départ supposait l'avènement d'un scénario d'utilisation idéal, c'est-à-dire une occupation libre, flexible et ouverte des espaces où le dispositif imaginé aurait pleinement trouvé la mesure de son accomplissement. Or la réalité du fonctionnement d'une telle institution, fût-elle novatrice et ouverte aux expérimentations, ne peut faire l'économie des problèmes de sécurité, de contrôle des entrées ou de la trivialité des contraintes commerciales. L'organisation spatiale se révèle finalement plus conventionnelle et figée que ne l'avaient imaginé les architectes. L'agora, qui devait être un espace fluide en interactivité avec le reste du bâtiment, a perdu sa cafétéria (transformée en restaurant clos un peu plus loin) et son espace est occupé par des édicules un peu lourds qui en altèrent la traversée. Tout au long de la Platine, les espaces se succèdent, séparés par de grandes cloisons vitrées qui rendent pour l'instant difficile cette fameuse hybridation par capillarité.
Les aléas politiques municipaux et le lot de controverses architecturales qu'ils entraînent ont constitué un deuxième écueil dont a été victime le projet. La plus cruelle déconvenue a été la décision malheureuse de conserver et de rénover la monumentale grille de la Manufacture et ce, sans doute, en compensation des deux ailes démolies. La Platine est en effet positionnée dans la continuité du long plan incliné de la place d'Armes, la pente se prolongeant même à l'intérieur du volume. D'ailleurs, sur toute la longueur des façades, des portes d'accès permettent de le traverser de part en part. Cette disposition créait une relation dynamique depuis la Grand'Rue, en tirant profit de la ligne horizontale de la Platine, soulignant l'ancien bâtiment qui émerge en arrière-plan. L'ouverture et la porosité transversale du bâtiment en faisaient une sorte de vitrine, provoquant un effet d'appel depuis la ville. Mais la grille, perchée sur son mur bahut, semble avoir mis la Platine en cage, n'autorisant qu'un accès central par le portail monumental, bouchant la perspective vers le bâtiment de l'Horloge, provoquant précisément ce que les opposants au projet voulaient éviter et qu'ils ont finalement accompli eux-mêmes !

On comprend qu'il y a quelque chose de paradoxal dans cette situation, puisque le concept des architectes, s'il opérait pleinement, devrait anticiper l'imprévisible. Mais peut-on lui demander, comme avec cette grille, de s'adapter aux intentions malveillantes ? Concernant les aménagements et l'utilisation actuels de la Platine, nous pourrions répondre qu'aussi conventionnels soient-ils, ils ont pour l'instant su y trouver un écrin efficace. Sous-employées, gageons que les capacités réactives et évolutives de l'architecture prouveront par la suite leur pertinence lorsque la Cité du design apprendra à utiliser le formidable outil dont les clés viennent à peine de lui être remises.



Maîtres d'ouvrages : Saint-Étienne Métropole
Maîtres d'oeuvres : LIN, F. Geipel et G. Andi (architectes mandataires), Stefan Jeske, Philip König (chefs de projet), Structure, WSI ; climat, Betom Ingénierie, Transsolar ; économie, Cyprium ; éclairage, Altia Acoustique, Ove Arup ; paysage, Base ; philosophie, Joseph Hanimann
Surface SHON :  Cité du design, 64 000 m2 ; Platine, 2 795 m2 ; surface de la peau, 8 930 m2
Cout : Cité du design, 45,54 M. €, dont 25 M € pour la Platine
Date de livraison : octobre 2009

Vue de la platine avec la Grand'Rue et la place d'Armes à gauche<br/> Crédit photo : KUNZE Jan-Olivier Vue depuis la cour des ateliers. A gauche le bâtiment de l'Horloge. Au centre, la tour Observatoire.<br/> Crédit photo : MAISONNASSE François Vue aérienne des différents modules de l'enveloppe<br/> Crédit photo : FILLON Vincent Quatorze mille panneaux triangulaires enveloppent la Platine d'une peau qui réagit aux variations climatiques et aux activités qu'elle abrite<br/> Crédit photo : DR  Plan de situation. Saint-Etienne : l'axe majeur de la Grand'Rue suivant la vallée. La Cité du design s'y impose comme un événement urbain majeur<br/> Crédit photo : DR  Coupe longitudinale, plan et squelette de la structure de la Platine<br/> Crédit photo : DR  Les édicules (boutiques, espaces de rencontres) de l'agora. <br/> Crédit photo : FILLON Vincent Une douve périphérique génère un effet de décollement du bâtiment.<br/> Crédit photo : FILLON Vincent L'espace d'exposition. La lumière zénithale est modulable mais elle n'est pas conçue comme un éclairage muséal, comme pour mieux désacraliser le deign<br/> Crédit photo : FILLON Vincent La médiathèque<br/> Crédit photo : FILLON Vincent La serre. L'air chaud est récupéré en partie haute par des cheminées qui le redistribuent dans les autres espaces.<br/> Crédit photo : FILLON Vincent Vue de la nappe structurelle tridimensionnée de 75 cm d'épaisseur avec différents modules de l'enveloppe. <br/> Crédit photo : KUNZE Jan-Olivier

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