Projet d’Opéra, coupe. Étienne-Louis Boullée, concours d’idées, 1781. |
Dossier réalisé par Georges ADAMCZYK L'introduction du rapport du jury du concours international pour la réalisation du Centre Beaubourg (1971) rappelle qu'un grand concours international est aussi une occasion offrant une « remarquable vue en coupe de toutes les tendances et de toutes les recherches d'une époque ». Voir en perspective ou en coupe semble bien une compétence d'architecte, au propre et au figuré. Mais quel est l'intérêt du dessin de la coupe au stade du projet ? Des historiens ont noté la spécificité de l'idée de la coupe, sa valeur ontologique autant que pragmatique, et l'importance de son étude particulière. Le concours d'architecture, qui ne peut guère éviter les dessins en coupe, est une occasion de s'interroger sur l'importance de cette vue à travers le corps de l'édifice.
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Article paru dans le dossier d'a
216 « Que savons-nous des concours ? »
Source de l'illustration : Jean-Marie Pérouse de Montclos, Étienne-Louis Boullée (1728-1799). De l'architecture classique à l'architecture révolutionnaire, Arts et métiers graphiques, Paris, 1969, illustration n° 75 (B.N., Est., Ha55, pl. 11).
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N° 216 - Avril 2013
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