Paris sous l’œil d’Albert Kahn…Cité de l'Architecture et du Patrimoine |
Une belle mise en lumière de l’exposition « Paris 1910-1937 – Promenades dans les collections d’Albert Kahn » par Gaston Bergeret qui aime se cacher derrière ses célèbres portraits d’architectes et ses photographies d’architecture. Grand Prix de Rome en 1981, Gaston Bergeret n’a jamais cessé de photographier les vieilles rues de Paris qu’il aime tant et pour laquelle il avait quitté son Béarn natal. Il nous livre un premier récit photographique de l’exposition sur Paris pendant la Belle époque, où voient le jour les dernières inventions des frères Lumières : l’autochrome et le cinématographe. L’exposition, installée à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine, met en scène l’aventure documentaire imaginée par Albert Kahn (1860-1940), banquier, mécène et humaniste : les Archives de la Planète. |
À partir de 1909, les photographes et cinéastes missionnés par Albert Kahn capturent et enregistrent la métamorphose progressive du cœur historique de la Ville Lumière. Précédant la réouverture du Musée départemental Albert-Kahn en 2021, dont le projet d’extension est orchestré par Kengo Kuma, l’exposition invite à découvrir la richesse de ces archives restées longtemps confidentielles, et qui dressent un portrait troublant de Paris au siècle dernier. Une immersion dans l’œuvre d’Albert Kahn, où l’on s’émerveille devant les images d’un Paris historique pour l’œil contemporain, où s’entrecroisent omnibus à cheval et les premières automobiles…
Animé par la volonté de produire une œuvre documentaire qui recenserait la diversité humaine et les beautés géographiques, Albert Kahn mobilisa sa fortune en envoyant, entre 1909 et 1931, une douzaine d’opérateurs photographiques et cinématographiques à travers le monde.
Ce fonds est l’un des plus importants sur la capitale pour le début du XXe siècle. Durant plus de deux décennies, les photographes et cinématographes missionnés par Albert Kahn, ses opérateurs, ont arpenté les rues de Paris, léguant pour la postérité près de 5000 autochromes, 90 000 mètres de films, 600 Filmcolor Lumière, 200 plaques stéréoscopiques noir et blanc.
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